Ateliers et Débats

Des rédactions ont des chartes déontologiques, d’autres pas. Des rédactions ont des médiateurs, d’autres pas. Des rédactions ont des sociétés de journalistes, d’autres pas… Des pays ont des conseils de presse ou des comités d’éthique, d’autres pas. Les Assises proposent d’aborder sans a priori la question des règles et des instances qu’il conviendrait ou non […]

Les préoccupations sont les mêmes, les méthodes de travail également, les pressions publicitaires plus fortes qu’ailleurs. Les 37 000 journalistes français sont-ils convaincus de faire le même métier selon l’endroit où ils travaillent ? Les intervenants  : Xavier BRIVET, rédacteur en chef du Courrier des maires Thierry BUTZBACH, journaliste indépendant Journal du Textile – Le

Les photographes désespèrent. A quelques rares exceptions près, il est de plus en plus difficile de publier un reportage quelque peu ambitieux. Le public pourtant se précipite à Arles et Perpignan ; alors pourquoi cette réticence des éditeurs ?  Les intervenants  : Serge CHALLON, directeur de l’agence Editing Server Andreina DE BEI, Responsable du service

Sécurité en 2002 ; affaire Allègre en 2003 ; agression du RER en 2004 ; délocalisations en 2005 ; « gang des barbares » en 2006 : comment éviter l’émergence des vagues médiatiques qui, jusqu’à leur éclatement,  balayent toutes nuances, tout contre point, dans le débat public auquel les médias invitent ? Les intervenants  : Boris BACHORZ,

Investigation. Liberté de regard et de ton. Depuis quelques années l’embellie du documentaire offre une véritable bouffée d’oxygène à un marché de l’info trop formaté. Et ça marche ? Même en Prime ? Les intervenants  : Christophe BARREYRE, directeur de production à l’INA Franck ESKENAZI, producteur, directeur de The Factory Yves JEULAND, réalisateur Vincent LECLERCQ,

Les rédactions les voudraient compétents, imaginatifs et rigoureux. Mais de plus en plus, elles les traitent comme des sous-traitants, idéalement invisibles, dociles et peu coûteux. Faut pas rêver ! Comment créer les conditions pour que les pigistes soient considérés comme des journalistes à part entière et puissent produire de l’information de qualité ?     

Et de 12 écoles de journalisme conventionnées. Est-ce raisonnable ? Le marché de l’emploi dans son état actuel peut-il absorber ces diplômés toujours plus nombreux ? Ou faut-il instaurer un numerus clausus ? Cette profusion d’écoles est-elle au moins une source de diversité ? Y a-t-il une valeur ajoutée à sortir de ces écoles ?

Au moment où l’on redessine les contours de l’audiovisuel extérieur français, les Assises interrogent la mission officiellement confiée aux journalistes qui travaillent dans ces médias : Est-ce pertinent de « porter sur le Monde un regard Français ? » Est-ce nécessaire face aux regards anglo-saxons, arabes ou asiatiques ? Faut-il pour cela une organisation commune ? Et

L’Ordre des Journalistes (Ordine dei Giornalisti) qui régit la profession de journaliste en Italie recense dans son annuaire 2006 environ 81 000 journalistes. Ceux-ci se divisent en deux catégories : d’une part les professionisti, qui exercent leur activité de journaliste de manière exclusive et qui sont au nombre de 22 500, et les pubblicisti, qui

Selon l’American Journalist Survey, les Etats-Unis comptaient en 2002 un peu plus de 170 000 journalistes permanents, dont la majeure partie travaillait pour la presse écrite. C’est pourtant ce secteur qui enregistre des pertes importantes d’effectifs depuis une dizaine d’années, alors même que le secteur télévisuel continue de croître régulièrement. Cette tendance à la baisse